Fleurs du jardin du connaissant
Par Mohammed Sabeur
Publié le 26/06/15 Collection Classique La maladie accompagne l’auteur et est devenue son amie. Il l’appelle « Sagesse ». Grâce à elle, on l’appelle « le poète qui n’en fait qu’à sa tête ». Peut-être sans elle serait-il devenu un homme malhonnête ou une bête sauvage ?
Une sagesse pour ceux qui veulent gagner une renommée mondiale à travers le mal : « Mieux vaut se taire et vivre sans le sou, anonymement, que Dieu pour rien, sous terre sous un ivre monument. »
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