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Les senteurs de septembre
Par Nazaire Houngnihin
Publié le 10/02/14 Collection Classique Parce que la vie est un filet infini où l’amour guerroie avec la douleur, parce que le cœur souvent vainement se perd à chercher des antalgiques, la poésie, la douce poésie, silencieusement s’infiltre dans la douleur qu’elle corrode. Affranchissez-moi, vers, de la géhenne !
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