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Pollen, pétales et petites catastrophes
Par Marine Da Silva
Publié le 18/03/15 Collection Classique « Camille, elle se sentait souvent en décalage. Avec les autres. Avec le monde. Comme écrasée par un poids tellement gros et noir qu’elle disparaissait dessous. Elle ne parlait pas beaucoup. La parlotte, ça l’ennuyait. Alors elle se taisait et elle regardait. Par contre, pour regarder, là, Camille, elle était drôlement douée.»
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